Au début du projet, j’avais l’idée de mettre un manga à la fin du livre. En l’ouvrant à l’envers, on aurait tomber sur la bande dessinée. Considérant mes talents médiocres de dessinateur, j’ai rapidement écarté l’idée. Aujourd’hui, cette idée revient sur la table. Je suis donc à la recherche d’un dessinateur.

Le site officiel du livre Esport Geek Life est enfin en ligne…, et en construction. Il sera amélioré pour le lancement du livre.

Un nouveau réviseur Alpha s’est ajouté à la liste. Pour lui, j’imprime l’unique exemplaire CAN-FRA-A5.

N’ayant nulle envie de courir derrière les maisons d’édition, je me tourne vers l’autoédition. L’expérience que je vais en tirer me permettra sans doute d’améliorer mon outil Magimagine. De plus, je vais rester en parfait contrôle du projet.

Ma version A5 est complétée et je reçois déjà les corrections de mes réviseurs Alpha. Je débute donc ma version A6.

Il est temps que ce manuscrit franchisse le seuil de ma maison. La meilleure façon de vérifier si un livre est bon ou non est de le tester avec ses proches. J’ai donc établi ma liste de réviseurs Alpha; ça fait huit personnes dont deux couples. Ma dernière révision complétée est la version A4 que je nomme désormais CAN-FRA-A4 pour Canada – Français – Alpha 4. J’ai imprimé cette version en six exemplaires. Pendant leur révision, j’entame immédiatement la A5.

Dans la version CAN-FRA-A4, mon manuscrit détient finalement un titre : Esport Geek Life. J’avais imaginé plusieurs titres, mais c’est celui-là que j’ai choisi puisqu’il représente très bien le contenu du livre. Les deux thèmes principaux du livre sont le sport électronique et la culture geek.

Mon inspiration vient surtout de ce que je vis, ce que je vois et de tout ce que j’entends. C’est en Chine que je termine la révision A3 de mon manuscrit. Comme preuve, me voilà sur un sommet du Huangshan en train d’écrire.

Ce pays riche en histoire m’inspire beaucoup d’idées. Non seulement pour mon livre de sport électronique, mais pour tous mes projets littéraires.

J’ai tenté une esquisse pour la couverture de mon livre. Ça donne ceci :

Ma réaction est donc : à l’aide! Il me faut des artistes! Je vais préserver cette image le temps de trouver un artiste. Je n’ai encore aucune idée comment je vais publier ce livre. Je vais devoir me renseigner sur le sujet.

Toute cette histoire n’est plus une simple nouvelle, c’est un véritable roman! 39 chapitres avec 70k mots. La version A2 est terminée. Mon premier feedback vient de Juliane, ma première lectrice. Lors de la rédaction, je me suis rendu compte que ce projet comporte suffisamment d’idées pour devenir une trilogie.

C’est le 13 décembre que prend fin la deuxième saison de la ESL ESEA Pro League de CS:GO. Bravo à Fnatic qui remporte cette victoire. Ayant suivi cette saison avec intérêt, j’ai accumulé une grande quantité d’idées pour améliorer mon histoire. Entre temps, j’ai rédigé la version A1 qui compte 26 chapitres avec 26k mots. Ça reste encore une ébauche. Ayant beaucoup retravaillé mon plan, ma prochaine version sera plus sérieuse… Surtout que Juliane, ma conjointe, insiste pour lire le texte.

La toute première ébauche de la nouvelle est écrite. Elle compte 21 chapitres avec 21k mots. J’ai une seule chose à dire. C’est vraiment mauvais. Ne lisez jamais cette version. Je débute donc immédiatement la version Alpha 1.

Suite à la mise en place de mon outil Magimagine, j’ai créé le projet Esport Book pour mettre le système à l’épreuve. Pour l’instant, mon objectif est d’écrire une courte nouvelle sur le sport électronique. J’ai construit sur Magimagine le premier plan de l’histoire pour mieux structurer mes idées.